Welcome home.
A ceux qui marchent des heures sans vraiment sans savoir où ils vont, pour aller quelque part. Pour arrêter de penser quand la boîte à fusibles s'emballent.
A ceux qui contiennent leur violence, par respect des autres, pour ne pas leur marcher sur les pieds, par peur d'eux même aussi, un peu, parce qu'is sentent que si ils lâchent la bride, ça va être violent. Violent et inconnu.
A ceux qui se retrouvent dans des images, dans des chansons, dans des odeurs sans vraiment pouvoir expliquer pourquoi, ni comment. Juste parce qu'ils le sentent.
A ceux qui ont l'impression d'être des ovnis dans ce monde de dingues. Trop sensibles, trop vulnérables, trop idéalistes et trop altruistes. Trop.
A ceux qui ne connaissent pas le repos de l'esprit. Qui se triturent toujours le cerveau, pour faire les choses mieux que la fois précédente, pour ne plus faire de mal. Pour ne plus faire de mal. Quitte à prendre sur eux, quitte à morfler si il faut. Plutôt nous qu'eux.
A ceux qui ne comprennent rien à ceux qu'ils sont. Ne comprennent pas pourquoi ils ont constament l'impression d'être un pièce d'un puzzle d'un couché de soleil, dans un puzzle de chien-chien à sa mémére.
A ceux là, je dis I have a dream !, Je vous ais compris !, entrez, bienvenu chez moi.
Un miroir déformant de chez vous.