Dawson, ou la niaiserie prête à l'emploi.
L'épisode de Dawson, sur lequel je suis tombée par hasard (celui qui me dit que "c'est toujours ce qu'on dit, hein ..." , je réponds qu'avec 350 chaînes, tu tombes TOUJOURS sur les choses par hasard, à moins de passer 3 semaines à apprendre par coeur le programme télé. Ami No-Life, bonjour.), m'a fait du mal.
Comment ? Avec ses grandes dents ? Oh le méchant épisode de Dawson ...
Ses grandes dents n'ont rien à voir, le sentimentalisme niais qui coule à grosses gouttes de ma télé quand le blond mélancolique est dedans s'en est trés bien chargé.
Les 3 minutes d'intro (pré-générique), parlait du besoin de se trouver un clan.
J'ai failli me mettre à pleurer.
J'ai toujours eu l'impression de faire partie d'une meute. Ouais, comme les loups. Là les uns pour les autres.
Avec le temps, ce genre de relation "tout ou rien" se sont émoussés avec certains, les membres se sont rarifiés. Mais il en restait.
Et puis, les rebondissements de la vie, son trajet tellement tordu qu'il ferait presque passer le Space Mountain et l'Indianna Jones (à l'envers ^^) pour des ballades pour enfants, font que certains descende du train.
Aujourd'hui, je compte les survivants, les warriors. Ceux qui sont encore dans la dynamique du "tout ou rien". Et on est plus beaucoup.
Et ça me fait pleurer.